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poete comme un pro!!!


poète comme un pro!!!
Bienvenue dans le blog, des belles paroles et des paroles utiles!!
Découvrez la beauté des belles paroles comme jamais vous n'avez vu, juste par Christian-Williams!!

très cher(s)(es) visiteurs(euses)!
bienvenus dans mon site et tout d'abord merci de votre visite. Ce blog que vous et moi affectionnez tant et qui est proche de frôlé le pan des sept mille visiteurs est devenu un outil beaucoup trop lourd pour que je puisse me vanter du succès car, ceci est notre oeuvre à tous qui, avons mis de notre sang pour son élaboration. pour une plus grande ouverture et pour permettre aux uns et aux autres de s'exprimer, un forum et un livre d'or est ouvert dans le blog; laissez-y vos messages afin que le site soit amélioré, si jamais il y a un poète dans l'âme qui veut bosser avec moi pour la construction du site, Via Facebook: Christian-Williams Kakoua
Via Twitter: @maxwilliams007
merci pour tout!!!
Non ne pleures pas princesse, quand sur ton doux visage descendent ces larmes ameres, le monde tout triste est. Je m'en vais au loin poursuivre mes etudes, degouté de la vie d'ici.Je ne te quitte point mamie,non,non. Je vais chercher ce diamant qui fera de toi ma reine; je te demande seulement de m'attendre. Je reviendrais le coeur gonflé par ce baiser que tu as deposé en moi.
By Williams!!
Parce que je parlais trop, ils m'ont attrape, moleste, maltraite. Parce que je genais, ils ont muselle ma bouche.Comme celle de tous ces Hommes de paperasse dictee par EUX.Ils ont tue la langue qui parlaient pour tous.A quoi bon servir leur politique?Meme entre eux ils se vouvoient.Ils ne se connaissent pas et se jouent des tours de diablotins.Oui ainsi va ce gouvernement...Pour qui travaillent-ils? Ils se servent au lieu de servir.J'en ai marre.Je me rappelle ce que disait le poete:honte à vous ministres integres qui pillez les caisses de l'Etat au lieu de les remplir..Je sais ce qui m'attends au coin de la rue.Un poignard bien aiguisé pour mes services rendu à la nation.

elle aime avec son coeur
elle le dit avec son ame
elle ne vit que pour toi
et tu sors avec sa soeur
effronté tu es homme...

By Kakus!!
“Cantare, cantare“

Ceci est la voix du fils des montagnes
Celle qui déchire le jour et la nuit
Accompagnant les bouches qui ne parlent plus
Parce que occupées à manger.

Voici le ténor des pleutres
Le fils des quatre éléments
Qui ne souffre ni de froid, ni de chaud
Mais qui jamais n’est écouté.

Avec ma plume je vais au front
Narguant kalachnikovs et canons
Outrepassant mines et pièges
Pour laisser mon message en terre fertile

Du Messie je n’ai rien
D’un héros je n’ai rien
Je ne suis qu’un héraut
Qui porte partout mes mots

Arrêtez-vous bouches corrompues
Qui savourez la sueur des autres
L’heure des révélations a sonné
Jurez-vous sur la bible d’arrêter ?

Non, non direz vous en sourdine ?
Eh oui ! Car la mauvaise herbe ne meure
Mais toujours je chanterais
Et toujours le ténor-héraut dominera.


Septembre 2010.
By Christian-Williams K.


couronne de laurier qui vient donner le sacre à nos differents travaux,
couronne qui vient nous rappeller nos dures labeurs,
toi qui met en nous l'envie de travailler,
je te reçois avec toute ta splendeur,
pour apporter aujourd'hui la gloire à mes travaux,
couronne du saint et du juste,
toi qui permet de montrer le laborieux et le paresseux,
je te porte au nom des belles lettres,
je te porte pour CESAR,
fais descendre sur moi ton or et que monte vers toi mes vers.
by WILLIAMS


LE FUTUR POETE
Il etait un jeune homme qui aimait écrire,
il etait un gaillard qui aimait poétiser,
par une belle matinée ensoleillée,
il promene sa plume vers le bas peuple,
comme jamais il n'avait d'inspiration,
vint en lui la force de denoncer et il sut,
il etait MALHERBE,
il etait RIMBAUD,
sa plume baudelarisait,
elle ronsardisait:en ce jeune homme etait né le poète,
son nom : ...

by
Williams


du sommeil du juste tu dors,
couché dans ce coffre d'or,
dans le domaine des mùorts,
le malin medite sur ton sort.

tu t'es levé un beau jour,
pretextant un petit tour,
or c'etait pour faire le contour,
du pays sans retour.

dans ce bar oû jadis tu as été,
la boisson a creusé dans la jétée
ce tortueux et sinistre fossé
oû tes vieux os seront entassés.

dors mon cher tresor,
tort revient à mort;
fort de tout son confort,
maure vient à la mort.


by Williams


"AU COMMENCEMENT"
Au commencement etait la mort,
Enveloppée de son drap noir,
Sa morosité éternelle de défunt,
Et son sourire sinistre de reine.

Au commencement était la maladie,
Traçant la route de mille tortures
Que suivra sans tarder la reine
Au grand coeur noir.

Au commencement était l'homme,
Recouvert par ses infinitésimaux,
Défiant le createur par des us
N'attirant que plus son courroux.

Au commencement était la parole,
Le Père la gardait et en fit vie,
Lorsque vie fût,mort suivi;
Elle finit par terrasser sa soeur.


by williams



'' Mots au juste père''

Ils n'ont pas reconnu ton visage
Quand à eux tu es venu.
Ils t'ont renié de vive-voix
Quand tu t'es presenté;
Ceux aux "grandes idées",
Aux idées facétieuses,
Aux idées pleines d'or,
Aux idées sanguinaires,
Aux idées les plus noircies.
Ils ont deformé tes dires,
Se sont éloignés de tes principes;
Ils ont concurrencé ta maison,
Bafouant la rigueur de tes lois.
Ils se sont servis de ton nom
Pour les plus noires pratiques,
Detournant ta sainte parole,
Ils ont corrompu la foule;
Parce que tu es saint,
Parce que tu vois tout,
Sépares les épines du blé,
Reconnaîs ceux qui n'ont point
Trahi leur allégéance de fidélité
Et donnes comme tu l'as promis,
A chacun selon son mérite,
Eclaire les justes de ta lumière
Et sauves-nous autres pécheurs
De la démence, la défaillance et le délire.
Par ta sainte grâce Père saint,
Reçois ces mots d'un écoeuré.

by williams


"LA LONGUE MARCHE"

Qu'il est long ton parcours,
Homme qui naît dans le peché,
Etre en qui somnole le mal.

Qu'elle est longue ta route,
Parsemée de mille embûches,
Remplie de mauvaises herbes,
Jonchée de caprices et de cactus.

De ton détachement à ce fillon,
Courroie d'or qui t'a nourri
Durant d'interminables neuf lunes.

Toi, marchant jadis à quatre pattes,
Bipède par occasion:
Finissant ta carrière sur trois jambes
Pleurant les labeurs de ton tracé.

Ton chemin rempli de maux,
Tortueux de long en large
Fatigant ton corps amaigri

Viens remplir ton coeur de pensées,
De souvenirs noirs et blancs,
Montrant ce qu'a été ta vie,
UNE LONGUE MARCHE.

By Williams


" exorcisme "
Sors de ce corps dis-je
Au nom de la beauté, sors!
Sors pour la juste cause,
Celle defendue par tes antécédents,
Combattans de charme sans armes,
Plume à la main, le coeur haut;

Sors de ce corps genie de l'intellect,
Montre au monde ton bon sens,
Et temoigne de tout coeur,
La juste valeur qui est tienne.

Poète aux grands, beaux et justes vers
Ne te laisse point posseder par leurs demons,
Narcotiques du peuple: pouvoir et avoir.
Au nom du grand art,
Sors du saint homme
Va,poete va.fais-toi exorciser
Par les pretres des beaux-arts,
Consulte Verlaine, consulte Mallarmé
Consulte Lamartine,
Le diagnostique de Ronsard,
Le grand aux belles odes
Ne parlera que de lui-même:
" Laisses parler ton génie,
Tu en es posséder".


by Williams



" Le silence "
Il est lourd,
Il est doux,
Il est désastreux,
Il est ténèbreux;
Intense dans sa sentence,
Il est léger,
Il est fort,
Il est mort,
Il est à entendre
Un pou tousser.
Lente est sa detente
Sur la route tumultueuse
Des noires nuits sulfureuses.
...
Un lourd silence s'installe,
Un doux silence s'installe
Après tout desastre.
Un ténèbreux silence s'installe,
Et l'on ne peut que comprendre,
La gravité de son verdict;
On est flottant,
On est solide
Pour apprendre le funeste destin,
Car silence ne porte que nefaste.
Et on vénère,
Et on silence,
Et l'homme vénère
Le silence de la mort.


By Williams


" UNE LETTRE TERNE "

Je ne serais sans doute plus là,
Quand tu sortiras du trou,
Cet enfer où a bouilli notre sang,
Ce cachot où nous nous connûmes.

Je ne serais sans doute plus là.
...
Quand tu recevras cette lettre noire,
Cette lueur venue du fond de mon être,
Ce mot vibrant de témoignages,
Je ne serais plus sous ce ciel.

Te souviens-tu de ces nuits,
Où nous cfrottant l'un à l'autre,
Nous cherchions une maiger chaleur,
Nous, humant les pires odeurs,
Dans l'antre obscur de notre cellule;

Assis dans un recoin,
Nos fondamentaux bafoués,
Sans le moindre regard international,
Sans l'oeil du monde,
Et nous pleurant à chaudes larmes ?

Combien de jours avons nous passé,
Enfermés dans la pire des prisons,
Pour des choses dont nous ne connaissions
Ni la tête, ni la queue ?

On nous a accusé à tort,
On nous a enfermé à tort,
On nous a envoyé à Mort,
On nous a condamné à mort.

Sous le poids de la vérité,
Nos chaînes ont craqué,
Rongées par notre innocence
Etalant ça et là, la réalité.

Je m'en vais, je m'en vais.
...
Loin de cet enfer de pays.
...
Quand tu reviendras,
Je serais sous d'autres cieux,
Cette lettre terne au loin,
Et toi, frangin, LIBRE.


By Williams


"MON ABEILLE"

Mon abeille t'envoles pas,
Non, ne t'en vas pas,
Ne me quittes point,

Tu as butiné fort longtemps
Sur les champs de fleurs,
Tu as rassemblé mille nectars,
Pour me donner ce miel-d'amour.

Pourquoi arriver quand je pars?
Mon coeur d'amoureux meurtri
N'attendra pas que revienne le tien
De ses multiples vagabondages.

Saches belle ouvriere
Que toi seule peux combler le creux
Qu'a fait ta pointe dans mon coeur!!!


by Williams


"Payeuse de rêves"

Assez de tes promesses,
Ne mepermet plus de rêver
Car tu bafoues mes rêves.

Ne me fais plus croire en ton soutien
Quand sans appui je suis.
Descends-moi de ces nuées
Où tu me hisses mère,
Et moi je te donne
Le grade de payeuse de rêves
Oui,oui,
Plus que jamais.

S'il etait un être
Que je devrais détester,
Ce serait oi mère,
S'il est un être
Que j'amoure vraiment,
C'est toi mère
Tu m'as appris le monde,
Tu m'as montré la vie,
Mais tu me les as repris
Par tes mensonges,
Par tes promesses.

Mère, ma mère africaine...
Regarde ce que tu as fais de moi;
Je t'aime comme je te déteste,
Tu m'as couvert de ton amour
Tu m'as donné le paradis
Et de toi belle femme,
J'ai reçu les meilleurs câlins,
Toi, ma payeuse de rêves.


By Williams
sur quoi me jugera- t-on?
j'ai passé ma vie à suivre celle des autres,
ma pauvre vie à regarder celle des autres.
le moment viendra où tu donneras le bilan de tes misères,
Homme qui ne fait rien d'autre qu'assister.
il est temps, tu dois devenir l'acteur,
certes pas le heros qu'on attends mais,
L'ACTEUR


‘’Paroles de pécheur’’

Je me suis moqué du Père,
J’ai vilipendé sa parole ;
Je me suis moqué du Père,
J’ai nargué son Fils
J’ai berné la mère,
J’ai trompé la fille.
De la route auréolée
Je me suis écarté,
Empruntant celle remplie d’épines.

Seigneur j’ai fuis tes voies
J’ai ignoré tes préceptes ;
Aujourd’hui je veux faire volte face
Tiens-moi par la main Fils de l’homme
Tires moi de ce bourbier stp
Je viens au devant de toi,
Les yeux embués de larmes
Reconnaissant mes torts et fautes
Te présenter mes sincères excuses.

‘’ Slam au cœur’’
Ce n’est que pour un ange
Qu’une encre d’acier perfore le papier
Mais ce n’est pas toujours un cancre
Qui manie habillement les mots.
Derrière ma plume affûtée
Se cache le poète futé
Derrière mon frêle buste
Réside un cœur robuste
Celui d’un être juste
Laissant couler en moi
Le sang du poète en émoi.

Si je ne t’avais rencontré
Sur qui serais-je tombé
Combien de danger aurais-je affronté ?
Merci à cette belle lune
Qui sous la dune me montra ton visage
Me conduisant à l’arène des sages.
Je ne te chante pas mon amour
Je t’en décrie juste les contours
Le reste tu trouveras dans mon humour
D’heures en heures le temps passe
Transformant tout en casse
Mais mon âme
Sans changer d’arme
Récite les mêmes chansonnettes
Celles de toutes les sonnettes :
« Tu l’aimes, tu l’aimes »
Moi de répondre ‘’je t’aime’’.


Par Christian-Williams K.
‘’Petit cœur’’
Pour tous ces enfants qu’on ignore à la traversée de nos rues…

Il souffre de mille maux
Il crie avec leur voix
Il hurle par les chemins
Il découvre leur souffrance
Petit cœur meurtri.

Il rit de bon cœur
Il tourne en bourrique
Il chante métal brillant
Il est teint de rose
Gros cœur rabougri.

Il pleure à chaudes larmes
De leurs infinitésimaux
Noir est votre cœur
Dorés sont vos voitures
Et argentés sont vos avoirs.

Ils chialent fils de rue
Ils rient fils de riches
Les uns s’étalent
Les autres se couchent
Et le monde est silencieux.



24 Novembre 2010.
Christian-Williams K.
Proverbes africains

1. Ce qui est plus fort que l'éléphant, c'est la brousse.
2. On est plus le fils de son époque que le fils de son père.
3. Pour qu'un enfant grandisse, il faut tout un village.
4. C'est au bout de la vieille corde qu'on tisse la nouvelle.
5. On tarde à grandir, on ne tarde pas à mourir.
6. C'est celui qui n'a jamais exercé qui trouve que le pouvoir n'est pas plaisant.
7. Au chef, il faut des hommes et aux hommes, un chef.
8. Le feu qui te brûlera, c'est celui auquel tu te chauffes.
9. Le mensonge donne des fleurs mais pas de fruits.
10. Lorsque tu ne sais pas où tu vas, regarde d'où tu viens.
11. Que celui qui n'a pas traversé ne se moque pas de celui qui s'est noyé.
12. La langue qui fourche fait plus de mal que le pied qui trébuche.



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